Jeudi, 17 mai 2012
Daphné Cameron
La Maison Gilles-Carle ouvre ses portes
Tiré d'un article de Daphné Cameron, LaPresse, 17 mai 2012
« La mort de Gilles ne m'a pas dit qu'il fallait abandonner le combat. Au contraire, j'ai senti une poussée d'aller encore plus loin, plus à fond, et d'aboutir au moins à une première maison pour que le modèle soit créé et que l'on puisse le perpétuer au Québec. »
« La santé du système de santé passe par l'aidant naturel, a expliqué Mme Sainte-Marie. Maintenant, on reconnaît que l'aidant, c'est le coeur, que c'est l'allié de l'État, car si l'État ne considère pas notre travail, le système de la santé va s'écrouler. »
Mme Sainte-Marie affirme qu'elle a reçu plusieurs propositions pour bâtir des maisons ailleurs au Québec, dont une à Montréal.
«Il faut garder le principe de la maison. Il faut que ce soit à l'échelle humaine. Je ne veux pas de ghettos de parkinson, d'alzheimer, ou de sclérose en plaques.»